Alcool, pas d’alcool, potâto, potato.
Microbiologiquement, au niveau du nez Mikkeller semble viser à la bonne place avec une bonne ration de lactobaciles , où à tout le moins de levures rondes qui vont bien avec le blé, pour donner un espèce de Berliner Weisse vanillé bien sympathique. L’orange est encore plus évidente (mais pas plus forte) en bouche et le liquide est bien vivant, quoiqu’un peu trop léger, et c’est un échelon de plus en finale. Moins ronde qu’une Berliner Sonne du Bockale mais bien goûteuse, c’est ma meilleure bière sans alcool et de loin.