Parce qu’il n’y a pas que des barils de rye à jeune sève de chêne en Ontario.
Très foncée mais avec de très jolis reflets rouges, elle a de quoi attirer l’œil tout comme le nez à peine balsamique bien arrondi par la vanille; on sent qu’elle a passé longtemps en fût. Bien égale en bouche, mais les cerises que l’on avait détectée en bouche monte la saveur d’un cran. Côté finale elle monte là aussi d’un cran, mais en acidité le côté des Flandres est encore plus évident. Rodenbach peut facilement à l’esprit mais le côté vanillée très près du bourbon et du chêne clôture bien cette rouge où il n’y a pas seulement les lactobacilles qui amènent l’aisance.