Parce que même si un berlinois me dirait que le sirop doit être ajouté après, je ne me sens pas vraiment insulté.
Une berliner weisse de fruit comme je les aime : sèche et pas trop « cerisée », super sèche même, heureusement arrondi un tantinet par du blé. La cerise frappe ensuite les papilles de plein fouet et me rappelle immédiatement le pot de marasquin dans le haut du garde-manger de mon enfance. Longue et paisible, c’est à grandes gorgées et avec grand plaisir qu’on y va dans la légèreté estivale.