Parce que l’orge peut aussi pousser sous les tropiques québécois de Joliette.
Du coconut oui, mais la balance est bien respectée car on y trouve de l’orge bien tassée au travers de l’écorce de la noix de coco. Pas très large et lente, on semble opter pour une lager méthodique, ce qui est pas mal mieux que celle de la mode de l’an dernier où l’excès était trop souvent de mise. La finale est quant à elle « écorcée », puis boom! la noix de coco et enfin de l’orge. Rien d’extraordinaire mais très bien faite.