Le sentiment de brûlure se vit généralement plus avec l’épicé; ici c’est le sucre qui est si excessif qu’il semble brûler les narines et la langue. On avale donc assez rapidement et c’est alors que la bière prend un croche bizarre pour se retrouver dans la poche de grain de café. Même si on passe un peu par-dessus la patate – qui amène sûrement beaucoup de sucre – c’est un porter plutôt tranquille dont la recette est plus intéressante que la réalisation.
La cote OO : B-
Parce que j’ai beaucoup de restant de caisses de tuile et de céramique dans mon cabanon, mais que ça ne fait pas nécessairement une belle mosaïque.