Mis à part les faibles effluves de pêche, c’est une pale ale qui explore bien le côte « pale » en donnant bien peu de nez. La bouche est presqu’aussi pauvre et on cherche longuement l’orge… va falloir passer à la gorge. C’est alors qu’on a droit à une très intéressante surprise car à ce point le houblon s’exprime de manière charmante, de quoi finalement donner un peu de lustre à son appelation pale ale et tout son côté anglais.
La cote OO : B
Parce qu’il ne faut pas se fier à la première gorgée car il s’agit bien d’une belle anglo-islandaise qu’il faut tout simplement amadouer.