Déjà une bonne pelletée de cannelle au nez… la suite risque de ne pas être des plus subtiles, mais non heureusement le caramel tient le volant de l’olfactive de manière bien ferme. Toujours forte en bouche la cannelle est forte mais pas trop gouteuse, boostant un peu la gazéification avant de laisser la citrouille qui sort d’abord discrètement puis totalement – même si on se doute que la citrouille est davantage de la muscade et d’autres épices bien dosées. À boire un soir de raclette après les récoltes, là où le 7.8% traître ne fait pas trop de mal.
La cote OO : B-
Parce que c’est une bière qui est très appropriée en octobre et novembre, mais pas nécessairement au printemps ou en été.