Autant dorée qu’houblonnée, l’appelation « kölsch américaine » est un judicieux choix de mots, même si l’on oublie le houblon une fois que le liquide entre en bouche. Le grain prend alors toute la place gustative – comme il se doit quand même. On conclut ensuite avec du houblon tantôt tchèque tantôt allemand malgré qu’il s’agit de cultivars américains (Loral et Cashmere en l’occurrence), ainsi que de la pêche pas trop sucrée. Certes, ce n’est pas l’expérience la plus intense qui soit mais c’est bonne franquette sous forme de miel, d’orge et de houblon en 3 parties égales.
La cote : B
Parce que ça représente une belle bière d’ouverture de dégustation. Gentlemen, start your engines.