B Parce que l’Écosse fait toujours parti du Royaume-Uni.
Très douce malgré un côté malt plus que présent. Ça fait changement du gros caramel du style qui ne se cache sûrement pas très loin. Presque laiteuse, elle prend du temps à s’asseoir sur les papilles et semble toujours gênée… vivement la finale alors on avale et c’est une véritable avalanche de raisin sec en gorge, propulsé par le malt et le houblon qui rendent l’expérience fondamentalement différente d’une stout impérial russe qui partage ce même raisin sec. L’aftertaste est un retour au calme un peu moins travaillé mais dans l’ensemble cet hybride gustatif scotch ale/stout descends plus que bien.